Disc-O-Logue

Le fonds d'archives Disc-O-Logue comprend de information compilée par Louise Lamothe entre 1958 et 1985 sur les enregistrements de musique populaire de langue française et disponibles au Canada sur disques LP (album 33.3 tours) et 45 tours.

Le fonds d'archives Disc-O-Logue comporte quatre catégories principales : les catalogues annuels du Disc-O-Logue publiés entre 1962 et 1979, le catalogue principal de fiches (1958-1985), l'information sur la mise en marché des disques et les listes de chansons populaires (palmarès). Vous trouverez également, les listes des nouveautés 45 tours et des prédictions de vente, compilées par Madame Lamothe.

La base de données Disc-O-Logue est une re-création du catalogue principal de fiches de 90 000 titres de chansons de langue française. Vous pouvez effectuer une recherche par mots-clés, titre de la chanson, compositeur, artiste, étiquette et d'autres détails. L'information n'a pas été vérifiée contre aucune autre source.

Explications sur la base de données

Même si nous visions l'uniformisation des entrées dans la base de données, des erreurs provenant des fiches elles-mêmes ou dues à une interprétation erronée de l'information qui leur est consignée peuvent s'y être glissées. Parmi ces notes manuscrites, il est question du droit d'auteur se rapportant à une œuvre au moment où la fiche fut créée; ceci n'est pas consigné dans la présente base de données. Dans certains cas où il subsistait un doute sur l'absolue validité de l'information, on a inséré un point d'interrogation à la place d'une information manquante ou ambiguë et un « x » à la place d'une date manquante. Un champ pour lequel l'information manque est laissé vacant.

Puisqu'elle s'intéressait d'abord aux titres de chansons individuelles, à la compagnie de disques et aux détenteurs des droits sur les titres, Madame Lamothe n'a pas inscrit les titres des albums sur ses fiches. Par conséquent, ces derniers n'apparaissent pas dans la base de données. Néanmoins, toutes les chansons prélevées d'un 33.3 tours sont accompagnées d'un numéro d'enregistrement; ainsi on peut lier toutes les chansons provenant d'un même album 33.3 tours à l'aide du numéro d'enregistrement. Le titre de l'album, cependant, doit être retracé à l'aide d'autres sources.

Aide à la recherche

Critères de recherche à votre disposition :

Titre
Entrez le titre d'une chanson. Lorsqu'une traduction ou une version différente du premier titre existe, une ligne supplémentaire a été ajoutée. NOTE : Seuls les titres des chansons sont entrés dans le Disc-O-Logue et non les titres des albums.

Compositeur
Entrez le nom de famille de la personne qui a écrit la chanson.

La plupart des compagnies de disques font valoir seulement le nom des compositeurs, soit par leur nom de famille, soit parfois par l'initiale de leur nom de famille. Enfin, les noms de certains compositeurs peuvent ne pas paraître dans les résultats de recherche s'ils n'ont pas d'abord été répertoriés par Madame Lamothe dans ses fiches originales.

Artiste
Entrez le nom de l'artiste ou du groupe interprétant la chanson. 

Etiquette
Entrez le nom de la compagnie de disques.

Les noms d'étiquette peuvent provenir du Canada, de la France ou d'autres pays francophones. Au fil d'années, les noms des compagnies elles-mêmes ont aussi changé. Par exemple, RCA Victor est devenu Victor, Apex a changé pour MCA, etc. Plusieurs petites compagnies de disques n'existent même plus.

Numéro d'enregistrement
Chaque numéro d'enregistrement identifie un enregistrement unique. Généralement, les compagnies de disques utilisent un format alphanumérique; par contre, ce système est amené à changer d'une compagnie à l'autre et d'année en année. Un tiret, un point ou un espace peuvent être utilisés pour séparer les sections du numéro d'enregistrement.  Ce champ peut également inclure de l'information sur les différents formats émis tels que 8 pistes et cassette. De plus, toute information ayant trait au numéro d'enregistrement comme par exemple des références à l'enregistrement principal (noté « master » dans la base de données) indiquant probablement le numéro de matrice, ainsi que des références à « 1X12 » et « 1X15 » qui signifient 1 chanson sur 12; 1 chanson sur 15, utilisées exclusivement à des fins de droits d'auteur.

Format
Entrez le format de la vitesse du disque, 33 (pour les albums 33.3 tours) ou 45 (pour 45 tours).

Date reçue
Entrez la date dans ce format (jj/mm/aaaa). La date à laquelle l'information concernant un disque a été reçue de la compagnie de disques ou encore la date à laquelle Madame Lamothe a préparé l'information concernant un disque à partir de sa recherche personnelle. Habituellement, cette date correspond à la date de mise en marché par la compagnie de disques.

Date d'annulation
Entrez la date dans ce format (jj/mm/aaaa). La date approximative à laquelle la compagnie de disques a avisé Madame Lamothe, ou à laquelle elle a pris conscience, qu'un certain disque a été retiré du catalogue. Il n'existe pas de date d'annulation pour les enregistrements qui étaient encore disponibles en 1985, alors que Madame Lamothe cessa la mise à jour du fichier.

Exemples de recherche

Pour voir les titres des chansons composées par Félix Leclerc

  1. Dans le champ Compositeur tapez « Félix Leclerc », « Leclerc » ou « Félix »
  2. Cliquez sur Recherche
  3. Voir la liste d'entrées

Pour voir tous les titres des chansons interprétées par Les Classels

  1. Dans le champ Artiste tapez "Les Classels"
  2. Cliquez sur Recherche
  3. Ceci vous donnera toutes les entrées des chansons interprétées par Les Classels. Une recherche utilisant le terme « Classels » vous donnera tous les enregistrements par Les Classels, Les Super Classels et tous ceux qui ont simplement été entrés sous « Classels ».
  4. Voir la liste d'entrées

Pour voir les enregistrements émis sous les étiquettes Victor et RCA Victor

  1. Dans le champ Étiquette tapez « Victor »
  2. Cliquez sur Recherche
  3. Ceci vous donnera la liste complète des entrées attribuées à Victor ou RCA Victor.
  4. Vérifier la liste d'entrées. Notez que pour chaque disque 45 tours, il y aura normalement deux entrées et que pour les disques 33.3 tours, il y aura une entrée individuelle pour chaque chanson.

Pour voir tous les titres des chansons de l'album Starmania

  1. Dans le champ Titre tapez des mots-clés du titre d'une chanson familière de Starmania dans la boîte d'interrogation, comme par exemple, « Danse à Naziland ».
  2. Cliquez sur Recherche
  3. Cliquez sur un lien sous Numéro d'item. L'enregistrement original de Starmania a paru sous étiquette Kébec-Frog et le numéro est KF.8001.
  4. Cliquez ensuite sur le lien dans le champ Numéro et le titre des 21 autres chansons gravées sur cet album apparaîtront.

Biographie de Louise Lamothe

Louise Lamothe est née le 8 mai 1932 à La Tuque, Québec. Elle fut, tout au long de sa carrière, une défenseure acharnée des droits d'auteur et de la propriété intellectuelle au sein de l'industrie de la musique. Elle est la créatrice du Disc-O-Logue. Le texte suivant fait état des grandes lignes de sa vie et de ses activités professionnelles.

Madame Lamothe reçoit son éducation à La Tuque et à Pointe-du-Lac, Québec et en 1950, elle commence à travailler à Montréal comme disquaire chez Edmond Archambault Inc. À l'âge de vingt-six ans et après sept ans d'expérience de travail dans le domaine du commerce de la musique, Louise Lamothe ouvre son propre magasin de musique à La Tuque nommé le Centre de Musique Enr. Elle assure la gestion de son magasin jusqu'en 1979.

Afin de mieux servir sa clientèle, Madame Lamothe crée en 1962 le Disc-O-Logue, un catalogue d'enregistrements sur disques 33.3 et 45 tours d'interprètes francophones, disponibles sur le marché canadien. Le Disc-O-Logue cesse d'être publié en 1979.

En 1965, tout en gérant son magasin, Madame Lamothe décide de s'impliquer dans le domaine des droits d'auteur et de la propriété intellectuelle. Elle devient la représentante canadienne de la Harry Fox Agency (disponible en anglais seulement) aux États-Unis. Établie en 1927 par la National Music Publishers' Association (disponible en anglais seulement), la Harry Fox Agency a pour mandat d'accorder des permis et de percevoir les frais des droits de mécanisation et de synchronisation des œuvres musicales, lesquels droits visent l'utilisation de la musique déjà mise en marché dans des émissions radiodiffusées ou télédiffusées, des films cinématographiques, des publicités et dans divers autres enregistrements. Ce travail de représentante auprès de la Harry Fox Agency permet à Madame Lamothe de recueillir de l'information sur les enregistrements d'œuvres musicales disponibles au Canada et de constituer un catalogue sur les droits d'auteur leur étant reliés. Cette initiative fait d'elle une pionnière dans le domaine de l'identification et du regroupement des droits de reproduction mécanique au Canada.

En 1968, Madame Lamothe est nommée Directrice générale de la Société des droits de reproduction mécanique du Canada Ltée (SDRM). Fondée en 1935, la SDRM s'est ensuite affiliée à une société française de perception de droits d'auteur, la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SACEM). Le rôle de SDRM, semblable à celui de la Harry Fox Agency, est de contrôler trois champs d'activités principaux : l'enregistrement d'œuvres protégées par des droits d'auteur au Canada, l'exécution de la Loi sur les droits d'auteur et la perception des frais imposés aux compagnies de disques redistribués aux membres de la SDRM et de la SACEM. Madame Lamothe a occupé le poste de Directrice générale de la SDRM jusqu'en 1985. En 1985, SDRM devient la Société du droit de reproduction des auteurs, compositeurs et éditeurs du Canada Inc. (SODRAC). Madame Lamothe est donc l'une des fondatrices de cette organisation qui représente toujours les droits des paroliers, compositeurs et éditeurs canadiens, ainsi que les intérêts des agences internationales de droits d'auteur au Canada.

En tant que membre de la délégation canadienne au Congrès international de la Confédération internationale des auteurs et des compositeurs en 1976 et en 1978, Madame Lamothe partage son expertise sur les lois régissant les droits d'auteur. Elle prend part, en 1978, au Sommet des industries culturelles organisé par le Gouvernement du Québec. Le document La juste part des créateurs qui en résulte, reconnaît le rôle significatif que joue la protection des droits d'auteur dans le secteur des industries culturelles. Madame Lamothe a également participé à plusieurs conférences et rassemblements ayant trait aux révisions de la Loi sur les droits d'auteur.

Malgré le temps que lui demande son commerce, Madame Lamothe entreprend de co-animer avec Claude Landré l'émission de variétés musicale « En primeur », diffusée sur les ondes de RALT-TV dans les années 1960. Elle produit dans la région de La Tuque plus de 50 spectacles mettant en vedette Ginette Reno, Claude Valade, Jen Roger, Les Classels, Les Baronets, Fernand Gignac, Michèle Richard, Michel Louvain parmi plusieurs autres. Avec le soutien des chaînes de radio communautaire de Trois-Rivières, La Tuque et Shawinigan, elle fonde une série de concours amateurs régionaux dont le premier prix est un contrat d'enregistrement avec la compagnie de disques London.

De surcroît, Madame Lamothe inaugure la Boutique Louise, une boutique d'artisanat et de cadeaux qui, selon Phildar avec qui elle a conclu un contrat exclusif, est « la plus belle et la plus complète au Québec ».

Bibliothèque et Archives Canada fait l'acquisition du fonds Disc-O-Logue de Madame Lamothe en 1986, le but étant d'enrichir sa collection de musique et d'enregistrements sonores canadiens. Louise Lamothe est décédée le 21 août 1999.

Entrevue avec Louise Lamothe

Louise Lamothe, « Qui se souvient du Disc-O-Logue ? » entrevue dirigée par Richard Baillargeon, tirée de Rendez-vous 92, le deuxième bulletin annuel conjoint des Publications Yé-Yé et de SARMA (Société pour l'avancement de la recherche en musique d'agrément), 1992. Reproduite avec la permission de Richard Baillargeon.

Richard Baillargeon - Madame Lamothe n'a pas beaucoup parlé jusqu'à maintenant. Pourtant, elle a été très active, elle aussi, dans un domaine qui est très proche de la musique. J'aimerais que vous me parliez du Disc-O-Logue; c'est une activité qui a duré plusieurs années!

Louise Lamothe - Ça a débuté en 61. C'était l'unique catalogue qui répertoriait tous les disques d'expression française, de France ou du Québec. J'ai fait ça jusqu'en 1985.

RB - C'était publié à l'intention des magasins de disques?
LL - C'était distribué dans les magasins de disques, les stations de radio, auprès des producteurs de disques. Cela permettait aux disquaires, si on leur demandait un titre - prenons par exemple « La vie en rose » - de retrouver tous les artistes qui avaient interprété « La vie en rose », le nom de leur compagnie, le numéro du disque et la date où il avait été mis sur le marché. Parfois, les artistes eux-mêmes ne savaient pas que leur disque était sur le marché. Par exemple, Monique Leyrac qui me dit: « Ça se peut pas, je n'ai pas fait Le petit bonheur sur 45 tours ». J'ai dit: « Madame, je l'ai dans les mains. Ça porte le numéro 0814 sur RCA. »

RB - C'est conservé quelque part, aujourd'hui?
LL - C'est à la Bibliothèque nationale, à Ottawa. Ils appellent ça un don à sa majesté!

RB - Comment s'effectuait la compilation? Est-ce que chaque maison de production vous envoyait ses listes ou s'il fallait faire d'autres démarches?
LL - Au début, toutes les compagnies de disques me donnaient un montant annuel pour compiler ces données-là. Mais quand je me suis impliquée dans le droit d'auteur, il y a quelques compagnies qui ont cessé de collaborer, me percevant presque comme une ennemie par l'usage que je pouvais faire de ces informations. À ce moment-là, je devais me procurer chaque nouveauté qui arrivait sur le marché.

RB - Cette compilation s'est-elle appelée Disc-O-Logue jusqu'en 85?
LL - Oui. Mais je ne parle pas ici du palmarès, c'était bien un catalogue.

RB - Il était publié à combien d'exemplaires?
LL - J'avais à peu près 550 abonnés, dans tout le Québec.

RB - Il y a donc des gens qui ont reçu régulièrement tous ces catalogues.
LL - Exactement.

RB - J'avais l'impression, d'après les quelques exemplaires qui m'étaient passés sous les yeux, que le Disc-O-Logue était un palmarès distribué par Laval Records. Quel était le lien avec la compagnie Laval et le Disc-O-Logue?
LL - À partir du catalogue que je publiais et qui était une compilation par ordre alphabétique, je faisais un palmarès à la demande de certains magasins et de certains producteurs, dont Tony Choma de Laval Records. C'était une feuille double, avec les palmarès français, américains et à l'intérieur, il y avait les nouveautés du mois. Le palmarès était établi à partir d'une recherche auprès des postes de radio et des marchands de disques. J'en faisais 50 000 exemplaires et j'en envoyais dans tous les magasins, gratuitement. Laval me payait une publicité qui était imprimée sur le feuillet.

RB - Ça a duré combien de temps, le palmarès?
LL - Ce palmarès-là a duré de 1962 à 1970, probablement... jusqu'à ce que je m'occupe du droit d'auteur.

RB - Quand vous vous êtes occupée de droits d'auteur, était-ce au sein de la SODRAC?
LL - Il n'y avait pas de SODRAC. La SODRAC, c'est depuis 1985, depuis que je me suis retirée. Ça s'appelait la SDRM Canada. Je l'ai fondée en 1969. De 69 à 85, je l'ai gérée. En 85, il y a eu le désir de fonder une société canadienne pour le droit mécanique. Il y a eu une fusion où les québécois ont 51 % des parts; la SACEM et la SDE se partageaient les frais financiers. La SDE s'est retirée au bout de deux ans et maintenant, la SODRAC est financée à 100 % par la SACEM et la SDRM Paris mais c'est une société canadienne.

RB - Depuis 85, avez-vous continué de vous intéresser à la musique?
LL - Pas du tout. J'ai fait une coupure complète. Dès qu'il passait une émission de variétés, j'éteignais l'appareil. Pour moi, c'était comme une peine d'amour. J'y avais mis tellement de coeur. Cet arrêt-là, c'était pire qu'un divorce! Tu vois, j'ai beaucoup plus d'enthousiasme à parler de la carrière des autres que de parler de moi.

La création du Disc-O-Logue

Le succès du Disc-O-Logue est principalement dû à une organisation précise et systématique, comme il est possible de le constater dans le plan illustré suivant. Afin de donner un exemple du processus de création, nous avons utilisé le premier album de Diane Tell, mis sur le marché en 1978.

  1. Les compagnies de disques pouvaient fournir à Louise Lamothe l'information concernant l'émission des disques de plusieurs façons. L'information pouvait prendre la forme de « feuilles d'émission », d'une commande de travail pour la production du disque, d'une photocopie de la pochette du disque ou d'une simple note de service. Parfois, elle devait demander l'information après l'avoir vue dans un magazine ou avoir trouvé un nouvel enregistrement dans un magasin de disques avant de recevoir quoi que ce soit. Dans ce cas, une photocopie de la pochette du disque suffisait.

  2. En utilisant cette information, une « Formule No 100 » était produite pour chaque enregistrement. La « Formule No 100 » était, pour Madame Lamothe, une façon de préparer systématiquement l'information pour son analyse des droits d'auteur. Dans cet exemple, il est possible de voir la mention « PM » (paroles et musique), dans ce cas composées par Diane Tell, une indication qu'il n'y avait pas d'autres droits d'auteur impliqués. Dans plusieurs autres exemples, il y avait des mentions indiquant qui détenait les droits d'auteur, les agences de droits impliquées et le pourcentage des droits assigné à cette agence en particulier.

  3. Formule No. 100
  4. Une fois toute l'information concernant le nouveau disque compilée, Louise Lamothe transférait celle-ci sur des fiches; une pour chaque chanson d'un 33 tours ainsi que des fiches supplémentaires pour chaque chanson enregistrée sur un 45 tours. Ces fiches furent classées par ordre alphabétique de titres de chansons. (Aucun programme informatisé de base de données ou mécanisme rapide pour classer l'information n'était disponible lorsque ce travail a été fait!) L'information sur les droits d'auteur fut également transférée sur les fiches afin de pouvoir s'y référer rapidement. L'exemple ci-dessous présente les deux fiches de la chanson « Je n'en peux plus » de Diane Tell. Une fiche montre les données pour la version du 33 tours tandis que l'autre, celles pour la version du 45 tours. La « date reçue » apparaît au bas de la fiche alors que la date en petits caractères située dans le coin supérieur droit indique habituellement le mois et l'année auxquels l'information est apparue dans la mise à jour du Disc-O-Logue.

  5. Une version éditée de l'information du catalogue de fiches a été utilisée dans le Disc-O-Logue publié. Le modèle de publication normal était une cumulation annuelle suivie de mises à jour périodiques, parfois mensuelles, parfois saisonnières. Les chansons demeuraient cataloguées dans chaque édition annuelle subséquente jusqu'à ce qu'un avis des compagnies de disques soit reçu, annonçant que les enregistrements étaient retirés de leurs catalogues. La mention « Annulé » et la date correspondante étaient ensuite indiquées sur la fiche en question et cette dernière était placée dans une autre section du catalogue de fiches.

    On a reproduit ici une page de la liste des nouveautés d'avril 1978, montrant la chanson « Je n'en peux plus » disponible sur disques 33 et 45 tours. L'astérisque (*) indique que la chanson est une nouveauté.

Remerciements

Cette collection numérisée est une production de Bibliothèque et Archives Canada aux termes d'un contrat pour le compte du programme de Collections numérisées de Rescol (Industrie Canada). Ce projet fût commandité par Bell Canada par l'entremise de l'Alliance Stentor. Disc-O-Logue a été réalisé par Louise Lamothe.

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